• CITES accepted the US proposal to limit the trade of all members of the genus Corallium, red and pink corals that make beautiful baubles and beads. The coral trade dates back five thousand years, and today thousands of kilograms of the corals are traded every year, primarily as jewelry. A long history of over-harvesting and rough collection methods has left Corallium in rough shape. Regions where populations once thrived, such as off of the French and Italian coasts, are now virtually barren. 

    Un joyau provenant des récifs des atolls, cette espèce est la plus chère parmi les coraux précieux. Le corail rose est pêché depuis 5000 ans pour la bijouterie et la décoration. La surexploitation et la destruction de colonies entières suite à l'utilisation de méthodes de pêche destructrices et au dragage des sols ont entraîné une diminution sévère des populations de coraux. Le WWF demande aux gouvernements d'inscrire toutes les espèces de corail rouge et rose à l'Annexe II de la CITES.


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  • Published online: 15 June 2007; | doi:10.1038/Heidi

    Convention protects corals; not dogfish

    News@nature.com rounds up key decisions from this week's conference on international trade in endangered species.

    Heidi Ledford



    Punchstock

    This year's meeting of the Convention on International Trade in Endangered Species (CITES) drew to a close today after more than a week of tough negotiations. Representatives from 171 member states haggled over some 40 proposed changes to regulations governing the international trade of plants and animals, resulting in changes to the treatment of many (see slideshow).

    From panthers to parrots and orangutans to orchids, CITES regulates the trading of more than 5,000 animal and 28,000 plant species to prevent the overexploitation of vulnerable species. It is administered by the United Nations Environment Programme.

    This year's meeting in the Hague, Netherlands, was the fourteenth conference of the participating parties. Such conferences are the only times that species can be added or deleted from the list.

    Negotiations can be difficult - regulation of the African ivory trade, for example, was particularly contentious this year. News@nature.com takes a tour through several key decisions.





    http://www.nature.com/news/2007/070611/full/070611-11.html


    Coup de projecteur sur 10 espèces menacées d'extinction

    Source : WWF

    Quelques jours après la plus grande conférence internationale sur le commerce d'espèces sauvages menacées d'extinction, la CITES [1], nous vous proposons de découvrir le palmarès publié par le WWF des 10 espèces les plus menacées par le commerce et pour lesquelles il faut agir sans plus attendre. La conférence a regroupé 171 pays et s'est tenue du 3 au 15 juin à la Haye aux Pays-Bas.

    http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/zoologie/d/coup-de-projecteur-sur-10-especes-menacees-dextinction_11825/  


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  • Quelqu'un le faisait remarquer un jour avec beaucoup de bon sens : si on trouve dans une lettre du quinzième siècle la formule : « Tu as le bonjour de Christophe », il ne s'agit pas forcément de Christophe Colomb. Tout le tapage fait autour de la tombe d'un certain Jésus enterré avec sa femme et son fils ne mériterait pas davantage d'attention si James Cameron n'avait décidé de profiter de l'aubaine pour en faire un film. Si on trouve dans le même tombeau les ossements d'un homme et d'une femme dont l'ADN montre qu'ils n'ont entre eux aucun lien sanguin et que l'homme s'appelle Jésus, la femme ne peut être que Marie-Madeleine. Élémentaire, mon cher Watson ! L'idée que l'Église aurait « caché des choses » est un truc qui marche à tous les coups et la recette, dans les deux sens du terme, est assurée (voir le succès du « Da Vinci code »). Il suffirait pourtant de réfléchir quelques minutes pour se dire que nous ignorerions 98 % de ce que nous savons sur Jésus si la communauté chrétienne n'avait rédigé, conservé et transmis les évangiles. Aujourd'hui, « la Science » viendrait brandir le bâton que « l'Église » aurait donné pour se faire battre en révélant l'existence de Jésus tout en nous cachant la vérité à son sujet.

    En lisant la dernière dépêche de l'AFP sur le sujet, on se dit que la Science, justement, a encore du travail à faire pour éclairer les masses, même journalistiques. On y apprend que l'hypothèse « s'appuie sur la présence de plusieurs noms hébreux inscrits sur les cercueils du tombeau ». Voilà effectivement un scoop ! Si on avait trouvé des noms chinois sur des tombeaux juifs à Jérusalem, la découverte serait certainement passée inaperçue... On apprend aussi que « Pour les Eglises catholique et orthodoxe, la tombe du Christ se trouve sous l'église du Saint-Sépulcre (sic !) à Jérusalem, tandis que les protestants la situent plus au nord, hors des murs de la vielle ville. » Effectivement, un général anglais du XIXe siècle, du nom de Gordon, frappé par l'aspect d'une colline dont la forme rappelle vaguement celle d'un crâne, avait identifié ce site au « lieu du crâne » dont parle l'évangile. Cette localisation a connu un certain succès, en particulier chez les anglicans, et la « tombe de Gordon » est devenue le « Garden Tomb », la tombe du jardin. Aujourd'hui, le prospectus mis à la disposition des visiteurs se contente de dire que le site donne une bonne idée de ce que pouvait être le tombeau dans lequel Jésus avait été déposé. Le rédacteur de la dépêche n'a probablement pas vu les lieux, mais peu importe, puisque le lecteur n'ira pas vérifier et que le papier se vendra.

    Morale de toute cette histoire : au vingt-et-unième siècle, il suffit d'invoquer « la Science » pour diffuser n'importe quoi, et l'appel à « la Raison » peut justifier toutes les formes de l'irrationnel. Pourquoi s'en priver, si ça rapporte ?


    ZF07053012
    ROME, Mercredi 30 mai 2007 (ZENIT.org) - Cette réflexion du P. Michel Remaud, directeur de l'Institut chrétien d'Etudes juives et de littérature rabbinique (www.institut-etudes-juives.net), à Jérusalem, a été mise en ligne le 28 février 2007 (cf. http://www.un-echo-israel.net/article.php3?id_article=3985). « L'Eglise n'a pas peur de la vérité historique ! », par Mgr di Falco
    A propos d'un documentaire sur la chaîne française TF1

    ROME, Lundi 28 mai 2007 (ZENIT.org) - « L'Eglise n'a pas peur de la vérité historique ! », rappelle l'évêque de Gap, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, dans ce communiqué à propos d'un documentaire diffusé à la télévision française faisant état de fouilles - à propos desquelles des archéologues chevronnés prennent leurs distances -, et intitulé - sans tenir compte de leurs critiques -: « Le tombeau retrouvé du Christ ».

    Communiqué de Mgr di Falco :

    Ce 29 mai à 23h20, sur TF1, sera présenté un documentaire fiction intitulé « Le tombeau retrouvé du Christ ». Réalisé avec le cinéaste James Cameron, l'auteur du film à succès « Titanic », ce documentaire reprend sous la forme d'une fiction, le déroulement des recherches qui ont été récemment faites autour d'un tombeau par un réalisateur canadien, Simcha Jacobovici. A l'origine de son initiative, des rumeurs selon lesquelles ce tombeau, découvert en 1980, renfermerait en particulier une urne sur laquelle est inscrit « Jésus, fils de Joseph ». Le film est suivi d'un débat entre Simcha Jacobovici et Mgr di Falco. Voici quelques éléments de réflexion publiés sur le site internet du diocèse de Gap (http://www.diocesedegap.com) au sujet de cette découverte.

    Il est tout d'abord intéressant de noter que l'intérêt du cinéaste pour ce tombeau coïncide avec le succès commercial de nombreux ouvrages à thème ésotérico-religieux, tels que le Da Vinci Code, alors que le tombeau était connu des archéologues depuis 27 ans. Ces derniers n'avaient apparemment pas jugé nécessaire d'approfondir la présence de l'urne funéraire d'un certain « Jésus, fils de Joseph », cette inscription n'étant pas rare à cet emplacement, à quelques kilomètres de Jérusalem.

    La curiosité de Simcha Jacobovici a été suscitée par la présence, dans le même tombeau, d'autres urnes sur lesquelles des graffitis représentent les noms de Joseph, Marie, Marie-Madeleine, Jacques, Matthieu et Judas. La mention de ces prénoms, tous connus dans la Bible, fait ainsi dire au réalisateur qu'il s'agit du tombeau de la famille de Jésus : Jésus, « époux » de Marie-Madeleine, Judas, leur « fils », Jacques, le « frère »... Sur quoi se base-t-il ? La seule analyse ADN a permis de montrer que Jésus et Marie-Madeleine avaient un ADN différent. Simcha Jacobovici en conclut bien rapidement qu'ils sont mari et femme. Or, aucune analyse sur ce Judas, leur prétendu fils...

    D'autant que cette conclusion repose sur une statistique douteuse : il y aurait une chance sur 600 pour une telle concordance de prénoms. Mais des archéologues se demandent quelles sources de données ont permis au réalisateur d'établir de telles statistiques puisqu'en Israël, le nombre de tombes non découvertes surpasse des millions de fois le nombre des tombes mises à jour. Par ailleurs, les prénoms de Jésus, Joseph et Marie-Madeleine étaient très fréquents à l'époque. Et même si ces statistiques s'avéraient justes, elles présupposent que Marie-Madeleine et Jésus sont mariés et que Judas est leur fils. Or, aucune indication n'est donnée en ce sens, ni dans la Tradition de l'Eglise, ni dans aucun évangile apocryphe.

    D'ailleurs, concernant Marie-Madeleine, un problème survient sur celle qui est ainsi appelée, sans nuance, par le réalisateur. Pour tous les lecteurs du Da Vinci Code et d'autres récits du genre, ce nom de « Marie-Madeleine » fait tilt ; or, sur l'inscription retrouvée, on a le nom « Mariamne », qui pourrait se traduire, d'après les archéologues, « Marie, connue sous le nom de son maître ». Rien ne dit donc qu'il s'agit là de Marie-Madeleine des évangiles, d'autant plus que ce même nom condense la figure de trois femmes : Marie de Magdala, Marie sœur de Lazare et la femme de Béthanie. Autre curiosité, ces tombeaux contiennent des inscriptions en araméen, hébreu et grec ; il est étonnant que, dans une même famille, on ait ainsi des inscriptions de langues différentes.

    Enfin, la localisation géographique pose question : si Jésus a été mis au tombeau à Jérusalem puisqu'il y a été crucifié, il n'y a aucune raison à ce que Joseph, père de Jésus, ait été lui aussi enterré (avant Jésus) à Jérusalem et non à Nazareth. De même, si Marie-Madeleine et son prétendu fils Judas ont vécu après la mort de Jésus, on peut supposer qu'ils seraient retournés à Nazareth ou du moins sur les bords du Lac, où ils auraient dû, selon la logique du réalisateur, être enterrés.

    En conclusion, la découverte récente de la tombe du roi Hérode, par des archéologues qui ont travaillé dessus pendant une dizaine d'années, paraît plus sérieuse que celle d'un cinéaste et d'un réalisateur dont le premier est particulièrement connu pour ses fictions à succès commerciaux. En outre, l'évangile est passé au feu de la critique depuis 150 ans, et son interprétation dans l'Eglise, reste le meilleur portrait de Jésus qui soit recevable aujourd'hui, le plus crédible et le plus vraisemblable. Mais pour reprendre les propos du Pape Pie XII, qui donnait l'autorisation de faire des fouilles sous la basilique Saint-Pierre, où l'on craignait de ne pas retrouver les restes de saint Pierre, « l'Eglise n'a pas peur de la vérité ».

    Mgr Jean-Michel di FALCO LEANDRI
    Evêque de Gap
    ZF07052808

     


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  • Jeudi 17 mai, le gouvernement britannique a approuvé une proposition de loi autorisant la création d'embryons hybrides, humains et animaux, en vue de la recherche.

    Selon le président de l'Académie pontificale pour la vie, Mgr Elio Sgreccia, cette décision est une « offense » à la dignité humaine.

    « La création d'un hybride homme-animal est une frontière que tout le monde - et pas seulement les associations religieuses - avait jusqu'ici bannie du domaine des biotechnologies. Et cela, justement parce que la dignité humaine est compromise, offensée, et qu'on peut ensuite créer des monstruosités des monstres à travers ces fécondations », a dit Mgr Sgreccia.

    « Il est vrai que ces embryons sont ensuite supprimés, que les cellules sont prélevées, mais dans tous les cas, la création d'un être homme-animal, représente une grave violation, la plus grave, des lois de la nature », a-t-il expliqué au micro de « Radio Vatican ».

    « La condamnation morale doit donc être totale, au nom de la raison et au nom même de la justice et de la science qui doivent rester au service de l'homme et respecter la nature humaine », a-t-il ajouté.

    Mgr Sgreccia souhaite que la Communauté scientifique internationale confirme sa ligne de défense en faveur de « la conservation » et du « respect des espèces ».

    « Jusqu'à présent, l'individu humain n'a pas été respecté, dans la mesure où les embryons sont immolés et sacrifiés de plusieurs manières et dans ces mêmes fécondations artificielles - a-t-il relevé -. Mais la frontière entre une espèce et l'autre était respectée. Or aujourd'hui, même cette barrière-là est abattue et les conséquences n'ont pas été calculées ».

    Pour Mgr Sgreccia il n'y avait, par ailleurs, aucun besoin de prendre cette décision. « Si l'on cherche des cellules souches capables de soigner des maladies comme la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson, il est absolument inutile de créer un hybride homme-animal, car il existe des cellules souches adultes, celles du cordon ombilical, celles de l'homme adulte, pour pouvoir faire face - en toute confiance - à ces frontières », a-t-il précisé.

    Le président de l'Académie pontificale pour la vie regrette que « les scientifiques ne considèrent que l'avancée de leurs recherches » au détriment « d'éléments anthropologiques et philosophiques tels que le respect de la nature et le respect de l'ordre naturel ».

    « La soif du savoir a ses limites - a poursuivi Mgr Sgreccia - , s'il n'est pas contrôlé par un sens de l'équilibre et par la raison humaine, toute cette soif d'expériences risque de bouleverser le sens moral du chercheur ».

    Déclaration de Mgr Elio Sgreccia, président de l'Académie pontificale pour la vie

    ROME, Lundi 21 mai 2007

    (ZENIT.org)  ZF07052102


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  • Published online: 4 May 2007; | doi:10.1038/news070430-14 / http://www.nature.com/news/2007/070430/full/070430-14.html

    GM patent rejected after 13 years

    Patent for technology to fire genes into soy seeds thrown out.

    Ned Stafford

    The European Patent Office (EPO) has revoked a patent owned by global agricultural giant Monsanto for the genetic modification (GM) of soybeans, saying the technique it approved 13 years ago lacked "novelty".

    The technique, which describes a way of creating any kind of GM soybean without reference to the specific genes being introduced, has helped make Monsanto the dominant force in GM soybeans - the company owns nearly 90% of the global market. Opponents complained that the patent gave Monsanto de facto control over all GM soybeans, and have been fighting against it since it was granted in 1994.

    At a hearing on 3 May, the EPO revoked the patent. The board's decision is final, says Rainer Osterwalder, spokesman for the EPO, with no further appeals available.

    The decision will no doubt have an impact on other GM technology patents, Osterwalder told Nature. "Case law is important," he says.

    But the patent was due to expire in 2008 anyway. A spokesperson for Monsanto says: "We do not expect this decision to have an impact on Monsanto's business." The EPO will not issue a detailed written explanation of the legal basis of its decision for three to six months, Osterwalder says.








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