• La publicité dans les jeux vidéo ne cesse de progresser: de 56 millions de dollars en 2005, elle devrait atteindre 732 millions d'ici 2010 promet le Yankee Group. Pour autant, les analyses du comportement des joueurs le montrent bien: "Quelqu'un qui est pris dans un jeu concentre son attention sur une chose à l'exclusion de tout le reste".

    Au final, les publicités qui fleurissent sur les pourtours des circuits de courses ou dans les rues des villes virtuelles sont complètement ignorées. "Pourtant, quand le joueur est dans cet état de transe, il devrait être réceptif aux messages publicitaires. La question est de comprendre comment faire passer ce type de suggestion-là", s'interroge Robert Stevens de Bunnyfoot, un cabinet d'analyse des comportements.

     Mich Davis, le fondateur de Massive, a eu l'idée d'envoyer des publicités dans les jeux via l'Internet, ce qui lui permet de programmer des campagnes réactives et d'observer précisément leurs impacts (démographique, localisation...). Reste que pour l'instant, les publicités 3D que propose Massive pour les jeux restent au pourtour du jeu et leur impact demeure limité. D'où l'idée de les intégrer à des objets interactifs, comme des voitures dans les jeux de circuits, mais la technologie n'est pas encore prête. L'autre solution consisterait à développer des campagnes totalement différentes: la série télé FutureWeapons (sur les armes du futur) de la chaîne Discovery a ainsi développé deux niveaux supplémentaires pour le jeu Gears of War et les a offerts gratuitement sur XBoxLive. Résultat: les téléchargements ont largement dépassé les prévisions et les fans ont remercié la chaîne de télé.

    "Les joueurs ne veulent pas être démarchés d'une manière traditionnelle", observe Chris Schembri de Discovery. "Ils veulent jouer au jeu. Si vous savez améliorer leur loisir, c'est la chose la plus intelligente que vous pouvez faire."

    Source: internetactu.net sous Licence Creative Commons by-nc

     


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  • 5 September 2007; | doi:10.1038/news070903-12 / http://www.nature.com/news/2007/070903/full/070903-12.html

    Britain gets hybrid embryo go-ahead

    Human-animal embryos given green light after public backing.

    Michael Hopkin



    Getty

    Britain's embryology regulators have approved in principle the creation of embryos by injecting human DNA into empty animal egg cells. Researchers are hoping to use the technique to generate human stem cells without relying on a supply of donated human eggs.

    Advocates of the technology have welcomed the decision by the Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA) to allow the technique, which they hope will aid the search for treatments of diseases such as Parkinson's and motor neurone disease.

    The decision comes 10 months after two British research groups applied for permission to begin using the method. They are now expected to have their licences granted in November.

    "We applaud the HFEA for their decision and look forward to the decision from the licensing committee on our applications in November," says Stephen Minger of King's College London, one of the researchers who have applied to use the technique.

    The embryos - called 'cybrid' embryos because they are not true hybrids but rather contain human DNA with cell cytoplasm from animals - could yield stem cells containing the donor DNA of patients with a range of diseases.

    Minger argues that the use of empty animal eggs is currently the only ethical way to generate these stem cells, because the technique requires many egg cells that would otherwise have to be gathered from human egg donations.

    "Sound decision"

    Royal Society president Martin Rees called the move "a sound decision based on the views gathered from both scientists and the wider public", adding that "we can be hopeful that our understanding of diseases will be furthered as a result of today's decision".

    The HFEA's move follows a public consultation in which 61% of the public were in favour of the procedure "if it may help to understand some diseases, for example Parkinson's and motor neurone disease". Of the roughly 2,000 respondents, 25% were against the technology on ethical grounds.

    Parliamentary science watchdogs have also staunchly backed the technology, after the government threatened in December last year to ban all work with hybrid embryos. In May, however, the government performed a U-turn and now looks set to legislate in favour of a limited range of hybrid-embryo research techniques.

    The ruling cements Britain's reputation as a pioneer of embryological research. Australia, Canada and the United States have all banned the creation of hybrid embryos, whereas politicians in other countries have not yet specifically addressed the issue.



















     


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  • http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/genetique-1/d/mon-863-mais-ogm-destine-a-lalimentation-humaine-suspecte-puis-innocente_12332/ Par Jean-Pierre Louvet - Futura-Sciences

    Le maïs OGM de Monsanto semble une cible privilégiée de critiques. En particulier, alors que les experts européens n'avaient rien trouvé à redire sur la base des dossiers fournis par le semencier, un réexamen des données fournies avaient conduit le professeur Séralini à contester les conclusions optimistes de Monsanto et des experts européens. Il soutient en effet qu'un réexamen statistique des données initiales met en évidence des différences pondérales significatives entre les animaux nourris avec cet OGM et les témoins (les deux sexes réagissant d'ailleurs en sens inverse). Enfin il affirme qu'il existe un impact sur le foie et les reins.



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  • http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/zoologie/d/les-oiseaux-se-font-rares_12261/ Extrait du BE Etats-Unis N°84 - Ambassade de France aux Etats-Unis

    Après avoir analysé plus de 40 ans de données sur les oiseaux, la National Audubon Society conclut que la population d'une vingtaine d'espèces parmi les plus communes aux Etats-Unis a décliné de plus de 50% depuis 1967.



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  • http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/genetique-1/d/la-carte-du-mais-ogm-en-france_12336/ Par Jean Etienne, Futura-Sciences

    Les cultures de maïs OGM représenteraient en France quelque 19 815,89 hectares, en constante augmentation. Du moins, si l'on s'en tient aux chiffres officiels publiés par le registre national des cultures OGM, car un doute subsisterait... Et pourquoi ce type de culture augmente-t-il régulièrement, alors que les Français, dans leur majorité, n'en veulent pas ?



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