• http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/52803.htm

    Le collège Hungerhill à Doncaster a mis en place, à titre expérimental, un système de surveillance utilisant des puces RFID, Radio Frequency Identification, intégrées aux badges des élèves. Dix élèves se sont portés volontaires pour en tester l'efficacité.

    Avec ce système de surveillance par RFID, les élèves de Hungerhill ont une carte à puce intégrée à leur badge, qui peut émettre des signaux radio. L'élève peut ainsi être identifié lorsqu'il rentre dans une classe. La puce est connectée à un système central, ce qui permet d'avoir de nombreuses informations sur l'élève comme par exemple sa photo ou ses résultats scolaires. De plus, le système permet aussi de restreindre l'accès à certaines zones de l'établissement pour les élèves qui ne sont pas autorisés à y accéder.

    Trevor Darnborough, l'inventeur de ce système explique que cette puce a de nombreux avantages : "Le gouvernement souhaite promouvoir l'enregistrement électronique à l'école car cela permet d'assurer une surveillance plus efficace des élèves et une récupération et un traitement rapide des données les concernant. Ce système permettra de gagner un temps précieux au moment de l'enregistrement et du suivi des élèves".

    Si cette expérimentation est concluante, ce système pourra être étendu et les puces seront intégrées aux uniformes des élèves. "Nous pensons que ce système fonctionnera d'une manière identique dans les collèges publics et privés et nous cherchons les financements pour nous aider à faire face à un énorme marché potentiel, incluant notamment celui des uniformes, qui représente 300 millions de livres (environ 420 millions d'euros) chaque année" précise Trevor Darnborough.

    Les parents et les défenseurs des droits civiques ont vivement critiqué ce projet qui est le premier de ce type au Royaume-Uni. En effet ils pensent que ce type de système de "traçage" doit être réservé aux criminels et non pas aux élèves. David Clouter, un parent qui a créé l'association "Laissez nos enfants tranquilles" explique que "la mise en place de ces puces dans les badges des élèves fait basculer les systèmes vers une surveillance totale. Le traçage est utilisé pour les criminels en surveillance. Avec le système des empreintes digitales, et maintenant ce nouveau système, il semble que nous traquons de plus en plus les élèves comme des criminels. C'est la première fois que j'entends parler de ce type de surveillance et je pense que c'est inacceptable. Je ne sais pas comment la surveillance totale des élèves va leur permettre d'améliorer leur apprentissage. Il faut connaître les élèves individuellement et développer une complicité pour savoir ce dont ils ont vraiment besoin".


    1 commentaire
  • Auteur : Internet-Actu - License CC

    La fouille de la réalité : c'est ainsi que l'on nomme un ensemble de méthodes capables d'analyser nos mouvements, nos déplacements, nos relations, sur le InternetRéseau informatique mondial constitué d\'un ensemble de réseaux nationaux, régionaux et privés qui sont reliés par le protocole de communication TCP/IP et qui coopèrent dans le but d\'offrir une interface unique à leurs utilisateurs.
    L\'ambition d\'Internet s\'exprime en une phrase : relier entre eux...');" onmouseout="killlink()">Web ou dans la ville. Des analyses à grande échelle pour mieux gérer nos sociétés... et ses individus.

    http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/technologie-1/d/de-nouveaux-outils-mettent-notre-vie-privee-sous-surveillance_14248/  


    votre commentaire
  • Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences

    Le maïs TransgéniqueAnimal, plante... dont le génome a été modifié par introduction d\'un gène étranger.');" onmouseout="killlink()">transgénique de Monsanto ne sera plus cultivé en France, au moins pendant un certain temps. C'est ce que vient de décider le gouvernement français.

    http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/botanique-1/d/les-ogm-suspendus-en-france_14227/  


    votre commentaire
  • Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences

    La Haute Autorité sur les OGMOrganisme génétiquement modifié. Définition du Conseil des Communautés Européennes : "toute entité biologique capable de se reproduire ou de transférer du matériel génétique (...) modifié d\'une manière qui ne s\'effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison...');" onmouseout="killlink()">OGM vient de rendre son avis et émet des « doutes sérieux » sur l'impact du maïs TransgéniqueAnimal, plante... dont le génome a été modifié par introduction d\'un gène étranger.');" onmouseout="killlink()">transgénique MON810. Résultat : la France pourrait interdire la culture de cette céréale, autorisée par Bruxelles. La décision sera prise par le Président de la République.

    http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/developpement-durable-1/d/le-mais-transgenique-va-t-il-etre-interdit-en-france_14193/  


    votre commentaire
  • En finir avec la destruction d'embryons humains

    ROME, Jeudi 22 novembre 2007 (ZENIT.org) – Le président de l'Académie pontificale pour la vie, Mgr Elio Sgreccia, voit un fait « historique » dans la nouvelle découverte sur les cellules souches : il faut donc en finir, dit-il au micro de Radio Vatican, avec la destruction d'embryons humains.

    Comme nous le rapportions dans notre service du 19 novembre 2007, même le chercheur britannique, Ian Wilmut, « père de Dolly », la première brebis clonée, renonce au clonage et se penche sur les cellules souches adultes : un revirement spectaculaire à contre courant des financements européens.

    Il s'est dit décidé à se rallier aux recherches du professeur Shinya Yamanaka, de l'université de Tokyo qui, en août 2006, avait réussi à créer des cellules souches adultes, dites « pluripotentes », à partir de cellules de la peau de souris auxquelles il avait ajouté 4 gènes. Son étude paraîtra le 30 novembre dans le magazine « Cell ».

    « Si cette technique est confirmée, a déclaré Mgr Sgreccia, elle représente une nouveauté que nous pouvons définir comme historique. Maintenant, on n'a plus besoin des embryons, et l'on n'a plus besoin du clonage thérapeutique – soi disant thérapeutique - : une page de polémiques et de dures oppositions se tourne. L'Eglise avait fait cette bataille pour des motifs éthiques, encourageant les chercheurs à progresser sur les cellules souches adultes et déclarant illicite l'immolation de l'embryon. Maintenant, ces chercheurs en sont arrivés là non tant pour des motifs de foi, mais pour le succès de la recherche. Le succès s'est présenté et cela permet aussi de dire qu'entre l'éthique et la science – la vraie – il y a une parenté. L'éthique qui respecte l'homme est aussi utile pour la recherche et cela confirme également qu'il n'est pas vrai que l'Eglise est contraire à la recherche : elle est contraire à la mauvaise recherche, à celle qui nuit à l'homme, et dans ce cas, à l'homme-embryon ».

    Mais les recherches sur l'embryon ont reçu ces dernières années de très lourds financements... et Mgr Sgreccia y voit un « gâchis ».

    Il déplore surtout le nombre des « embryons immolés, des milliards pris dans les caisses de l'Etat et donc des citoyens, et en définitive jetés, alors qu'ils pouvaient servir à la ‘good science', à la bonne science, à la véritable recherche ».

    « Il est vrai que nous disons, ajoutait Mgr Sgreccia : ‘Mais la recherche, lorsqu'elle part, ne sait jamais ce qu'elle va trouver'. C'est vrai, concédait-il, mais il y avait déjà des indices faisant comprendre que par les cellules adultes, on obtenait des résultats et rien sur les cellules embryonnaires. Et je n'arrêtais pas de le prêcher sur tous les tons, sur toutes les places. Espérons maintenant que cela suffise. Mais je ne sais pas si ceux qui ont investi de l'argent, qui ont fait des lois pour favoriser cela seront en mesure de reconnaître l'erreur et revenir en arrière. Au moins, je pense que les chercheurs qui voudront obtenir des résultats, iront les chercher là où ils sont ».

    Déjà, rappelons-le aussi, le 28 juin 2006, nous soulignions que les cellules souches du sang de cordon représentaient une alternative aux cellules souches d'embryons humains pour M. Grégory Katz-Bénichou, professeur et titulaire de la chaire de bioéthique et innovation thérapeutique à l'Ecole supérieure des Sciences économiques et commerciales (ESSEC).


    Le « père » de Dolly renonce au clonage d'embryons

    Le biologiste Ian Wilmut, créateur de la brebis Dolly il y a dix ans, renonce à la technique du clonage embryonnaire qui soulève des problèmes éthiques

    http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2321002&rubId=5547 

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique