• http://www.snv.jussieu.fr/vie/bib/dos-doc/1documents.htm

    Modélisation du concept de "boîte noire" :

    Modélisation cybernétique d'un système effecteur :

    Modélisation cybernétique d'un régulateur en
    constance.
    Il est caractérisé par une rétroaction
    négative :

    Modélisation cybernétique d'un régulateur en
    tendance.
    Il est caractérisé par une rétroaction
    positive :

    Modélisation cybernétique d'un homéostat. Noter
    l'intervention de deux systèmes, un 'réglant' et un 'réglé'.
    Grâce à une voie de communication, le système réglant
    peut agir sur les grandeurs d'entrée du système réglé,
    et ainsi positionner la grandeur réglée au niveau de la valeur
    de consigne :

    En cybernétique, un homéostat peut être décrit d'une manière un peu plus détaillée, par l'association de deux systèmes :

    * Un système réglé : le compartiment dans lequel est définie la grandeur réglée, caractérisé en particulier par ses grandeurs d'entrée (paramètres affectant la grandeur réglée) et par sa grandeur de sortie (la grandeur réglée).
    * Un système réglant : agit en permanence sur le système réglé, afin de maintenir la grandeur réglée aussi proche que possible de la valeur de consigne. Il est composé de trois éléments :
    1. Un émetteur, ou émetteur-capteur : détecte les variations de la grandeur réglée par rapport à la grandeur de consigne, et traduit cet écart en une information codée, transmise par le transmetteur.
    2. Un transmetteur : transmet l'information codée par l'émetteur au récepteur de la voie de communication.
    3. Un récepteur : c'est l'effecteur du système réglant. Il traduit le message codé qu'il reçoit en une action capable de rectifier la valeur de la grandeur réglée.


    Dans la très grande majorité des cas, les paramètres physiologiques
    du milieu intérieur d'un organisme tel que l'Homme sont maintenu constants
    : il s'agit d'homéostats, fonctionnant grâce à des régulateurs
    en constance. Toutefois, dans certains cas, des régulateurs en tendance
    peuvent intervenir : ils résultent de la modification, de manière
    active, de la grandeur réglée, dans le sens d'une diminution ou
    d'une augmentation. Toutefois, ces modifications ne sont pas infinies et sont
    limitées dans le temps : elles sont la conséquence du déplacement
    transitoire de la valeur de la grandeur de consigne vers une nouvelle valeur
    bien déterminée.


    Dans ces phénomènes, des servomécanismes interviennent
    : il s'agit de dispositifs permettant de modifier la valeur de la grandeur de
    consigne. Ils mettent en jeu des régulateurs en tendance pour modifier
    la grandeur réglée, et des régulateurs en constance pour
    la maintenir ensuite à la nouvelle grandeur de consigne. Il s'agit donc
    ici d'une notion de pilotage : le servomécanisme permet
    une variation précise, commandé par un niveau d'organisation supérieur
    de l'organisme.


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  • http://www.inrp.fr/Acces/biotic/procreat/amp/html/GametesMurs.htm  

    Représentation de l'épididyme et de ses
    relations avec le testicule

    La tête de l'épididyme (en haut) est assez volumineuse,
    le corps de l'épididyme longe le testicule et la queue de l'épididyme
    est la zone où les spermatozoides son stockés.

    D'après http://spermiologie.u-strasbg.fr


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  • http://www.snv.jussieu.fr/vie/bib/dos-doc/1documents.htm

    Première étape : formation d'une ébauche de gonade indifférenciée
    crête génitale et cellules germinales

     Les cellules germinales migrent, chez tous les Vertébrés,

    pour aller coloniser la crête génitale. Chez les Mammifères,

    ces cellules sont originaire du mésoderme extra-embryonnaire. Elles

    accomplissent leur migration en passant par l'allantoïde :

    Deuxième

    étape : formation d'une gonade

    développement de la crête génitale

    Première étape : développement identique

    chez l'homme et la femme



    A. A 4 semaines de développement, la crête génitale

    est visible. Elle comporte les cellules germinales. Elle se développe

    à côté de la crête mésonéphrétique,

    qui comporte le futur canal de Wolff.


    B. Après 6 semaines de développement, le canal

    de Müller est apparu dans la crête mésonéphrétique.

    Les cordons sexuelles primitifs se développent à partir

    de l'épithelium de la crête génitale.



    Deuxième étape : développement différent

    chez l'homme et la femme



    C. Au stade 8 semaines, les cordons

    sexuels, pour les foetus de type mâle ou XY, vont se développer

    en pénétrant dans le tissu conjonctif et former un réseau

    relié au niveau interne par les cordons du
    rete

    testis
    . L'extrémité de

    l'ensemble des cordons sexuels va se détacher de l'épithélium

    de la crête génitale. Ces cordons seront séparés

    par une matrice extracellulaire, l'albuginée.



    D. Au stade 16 semaines, les cordons

    sexuels ou testiculaires contenant des cellules germinales (précurseurs

    des gamètes) se développent , augmentant alors la taille

    du testicule. Le réseau formé par les cordons testiculaires

    et les cordons du
    rete testis

    est relié au canal déférent (tube dans lequel les

    spermatozoides passent dans l'urètre et sortent de l'organisme)

    par des restes de tube mésonéphrétique (canaux

    efférents).





    E. Au stade 8 semaines, les cordons sexuels primitifs dégénérent

    ; seul l'épithélium de surface reste et produit des cordons

    corticaux .



    F. Au stade 20 semaines, la folliculogénése,

    c'est-à-dire la formation des follicules, démarre. On

    observe une migration des follicules entourant l'ovogonie dans la crête

    génitale mais il n'y a pas de connections avec le canal de Müller.



    Pour les foetus XY, on observe dans la crête

    génitale la formation de deux types de cordons : les cordons testiculaires

    qui contiennent les cellules germinales qui produiront les futurs spermatozoïdes

    ; et les cordons du rete testis qui se trouvent à l'extrémité

    des cordons testiculaires. Le canal de Wolff est relié aux cordons

    du rete testis par des restes du tube mésonéphrétique

    et se différencie en canal déférent pour permettre

    la sortie des spermatozoïdes. Au cours de ce développement,

    les cellules du mésenchyme interstitiel des testicules vont devenir

    les cellules de Leydig (production de la testostérone qui favorise

    le maintien du canal de Wolff) et les cellules des cordons testiculaires,

    autres que les cellules germinales, vont se différencier en cellules

    de Sertoli (nutrition des spermatozoïdes et sécrétion

    de l'hormone anti-Müllerienne qui favorise la dégénérescence

    du canal de Müller). Pendant la puberté, il y a formation des

    tubes séminifères par creusement des cordons testiculaires,

    et les cellules germinales produisent les spermatozoides.



    Chez les foetus de type femelle ou XX, les cordons

    sexuels primitifs dégénérent. Néanmoins, l'épithélium

    de surface produit de nouveaux cordons qui ne pénétrent

    pas dans le tissu conjonctif mais qui restent en contact avec la surface

    corticale de la crête génitale. Ils forment les amas cellulaires

    différenciés de la granulosa (d'origine somatique) et entourent

    les cellules germinales. Les cellules des thèques (cellules périphériques

    et protectrices) se forment ensuite autour de chaque ensemble (granulosa

    + cellule germinale), pour former les follicules. C
    es

    follicules sécrétent des hormones stéroïdes.

    La formation d'un follicule n'est possible que s'il entoure une cellule

    germinale. Pour les individus XX, on observe une dégénérescence

    du canal de Wolff par l'absence de testostérone et le canal de

    Müller se développe pour former l'appareil génital

    femelle (l'oviducte, l'utérus,le canal cervical et le vagin supérieur).


    Troisième étape

    : acquisition du sexe phénotypique





    Les gonades en développement secrètent un certain nombre d'hormones. Ces hormones permettent le développement de l'ensemble de l'appareil

    génital vers un phénotype mâle ou femelle. Cette acquisition

    du sexe phénotypique est visible en particulier au niveau des canaux

    de Wolff et de Müller : Au stade indifférencié de l'appareil génital,

    les canaux de Wolff et de Müller sont présents.


    Le testicule secrète testostérone et hormone anti-Müllerienne.

    Les canaux de Wolff constituent le spermiducte chez le

    mâle des vertébrés. Ils sont en relation avec le mésonéphros

    mis en place au cours de la quatriéme semaine du développement.

    L'extension du canal de Wolff jusqu'à l'urètre se fait pendant

    la cinquème semaine.

    Ces canaux dégénérent chez

    la femelle.
    Les canaux de Müller se développent en parallèle

    aux canaux de Wolff par une invagination de l'épithélium au niveau

    du pronéphros (région antérieure du mésonéphros)

    au cours de la sixième semaine. Ils deviendront les oviductes de la femelle

    et déboucheront dans l'utérus. Ces canaux dégénérent

    chez le mâle.

     




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  • http://www.ac-nantes.fr:8080/peda/disc/svt/soja/TPsoja.htm

    Les mécanismes
    de l'action de l'éthylène ne sont pas encore complètement
    identifiés. Actuellement, on sait que l'éthylène se fixe
    sur un récepteur membranaire. Les études sur
    Arabidopsis ont
    permis de déterminer que cette fixation déclenche la succession
    d'évènements ci-dessous :

     


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