• 642 - Régulation des naissances

    Faire un tableau de comparaison des méthodes connues

    exemple de tabl contraception : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=562

    méthode Billings : http://www.woomb.org/bom/lit/teach/index_fr.html ; http://www.woomb.org/bom/index_fr.html

    pillule : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=680

    => triple verrou : bloque ovulation, fécondation et/ou nidation

    contra-

    -ception

    -gestion

    chimique

    Spermicide
    Pillule, implant, anneau, patch

     

     Pillule du lendemain

    Pillule, implant, anneau, patch

    mécanique

    Préservatifs
    Stérilisation

    Sterilet
    IVG

    naturelle

    Billings

     

    Effet de la pilule combinée sur la taille des follicules et le taux d’oestradiol : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2778

    ménopause : hormones et ovocytes : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=685

    nombre d’ovocytes chez une femme en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2092

    pilule combinée (O+P) : niveaux d’action schéma : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=680

    Effets pilule normodosée-graphes- : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=563

    Hormones et pilule : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1579

    lévonorgestrel -taux de LH : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=956

     


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  • La région d'Athabasca Valles, sur Mars, géologiquement récente, a été sculptée par un fluide qui s'est déversé du nord-est vers le sud-ouest. On y observe des motifs en forme de polygones de cinq à quinze mètres de diamètres. Deux hypothèses s'affrontent : est-ce de la lave ou de la glace qui a modelé cette plaine ? La découverte de 269 motifs en spirale de 5 à 30 mètres de diamètre sur de nouvelles images de la caméra HiRISE, embarquée par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter, apporte un élément de réponse. Ces spirales rappellent des motifs observés à Hawaii lorsque de la lave très fluide de type pahoehoe se fige. Les spirales martiennes résulteraient ainsi des mouvements dans la lave, figés lors du refroidissement de celle-ci.

    A. J. Ryan et P. R. Christensen, Coils and polygonal crust in the Athabasca Valles region, Mars, as evidence for a volcanic history,Science, vol. 336, n° 6080, pp. 449-452, 2012.

     


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  • La controverse autour de la censure de deux articles sur la création d'un virus mutant de la grippe était injustifiée, selon Jean-Claude Manuguerra de l'Institut Pasteur © BigStockPhotos
    D’abord censurés pour des raisons de sécurité, deux articles scientifiques sur la création de virus grippaux mutants ont finalement été acceptés pour publication. Jean-Claude Manuguerra, virologue, responsable de la cellule d’intervention biologique d’urgence de l’Institut Pasteur, revient sur cette polémique.

    Un virus de la grippe mortel, aussi contagieux que celui de la grippe saisonnière : en créant un tel virus en laboratoire fin 2011, deux équipes de virologues ont fait de ce cauchemar de santé publique une réalité. L’Agence américaine de biosécurité a pris les choses très au sérieux, exigeant que les deux articles scientifiques concernés ne soient pas publiés.

    Après des mois de polémique, cette censure a finalement été levée. L’un des articles, fruit des recherches de Yoshihiro Kawaoka de l’université du Wisconsin, a été publié par la revue Nature mercredi 2 mai. Le second, présentant les travaux de Ron Fouchier, du Centre Erasme de Rotterdam, devrait bientôt être mis en ligne par la revue Science

    La Recherche : La création d’un virus de la grippe particulièrement contagieux pour l’homme est détaillée dans un article de Yoshihiro Kawaoka, paru dans la revue Nature. Qu’y apprend-on ? 

    Jean-Claude Manuguerra : L’enseignement principal de cet article est que les virus de type H5N1, responsables de la grippe aviaire, peuvent, à la suite de modifications génétiques, se transmettre aux mammifères. En temps normal, ce virus n’infecte que les oiseaux. Mais en de rares occasions, notamment lorsqu’il mute, il est transmis à l’homme et se révèle particulièrement dangereux. C’est lui qui, en 2006, avait semé la panique dans le monde entier et provoqué l'infection d'une centaine de personnes, dont un peu moins des trois quarts sont décédées. Heureusement, il ne se transmet pratiquement jamais au sein de l’espèce humaine.

    L’équipe de Yoshihiro Kawaoka a travaillé sur ce virus en essayant justement de le rendre transmissible entre mammifères. Grâce à un réassortiment génétique entre cette souche et la souche H1N1, responsable de la grippe humaine pandémique de 2009, le virus acquiert des caractéristiques moléculaires qui facilitent sa pénétration dans les cellules humaines et le rendent beaucoup plus contagieux pour les humains. 

    LR : Sur quoi repose cette capacité de contagion ? 

    JCM : Le virus de la grippe possède à sa surface une protéine, l’hémagglutinine. Celle-ci permet au virus de se fixer sur les cellules des voies aériennes via un récepteur particulier, dont la structure diffère chez les hommes et les oiseaux. La souche H5N1 reconnaît plus facilement les récepteurs présents chez les oiseaux, tandis que la souche H1N1 se fixe préférentiellement sur les récepteurs humains. 

    Le virus mutant H5N1 obtenu par l’équipe de Yoshihiro Kawaoka possède une hémagglutinine qui reconnaît les récepteurs des cellules humaines. Résultat, il infecte beaucoup plus facilement l’être humain comparé à la souche habituelle qui infecte les oiseaux. C’est la seule modification constatée. Sa dangerosité, elle, n’augmente pas. 

    LR : Des terroristes peuvent-ils recréer ce virus mutant en laboratoire à partir de cet article, comme le craignait l’Agence américaine de biosécurité ? 

    JCM : Les choses sont claires : cet article requiert des connaissances et des techniques très poussées et ne s’adresse donc qu’à des virologues spécialistes de la grippe. De deux choses l’une : soit les terroristes ont déjà les connaissances en biologie nécessaires et n’ont donc aucunement besoin de cette publication pour produire ce virus, soit ils ne disposent pas du bagage nécessaire et cet article leur sera parfaitement inutile. Dans les deux cas, on ne peut pas considérer le travail de Yoshihiro Kawaoka comme un livre de recettes destiné à préparer une souche mutante de virus H5N1. 

    LR : Cette polémique sur la publication des articles « sensibles » était-elle donc injustifiée ? 

    JCM : On le saura après avoir pris connaissance des travaux de Ron Fouchier ! Ces derniers ont eux aussi pour objectif de créer un virus grippal mutant, mais reposent sur des approches différentes. A la lecture des seuls résultats de l’équipe de M. Kawaoka, il est évident que les cris d’orfraie étaient injustifiés : bien que plus facilement transmissible, la souche de virus grippal développée chez des furets par cette équipe est moins pathogène que celle qui infecte habituellement les humains. Sans compter que nous disposons déjà de vaccins pour la combattre. Cette controverse aura au moins eu le mérite de rappeler que les questions liant science et société doivent être débattues ouvertement, ce qui a été le cas.

    Propos recueillis par Fabien Goubet

    http://www.larecherche.fr/content/actualite-vie/article?id=31753

    A lire également : 

    Fin de la censure pour les deux articles sur les virus grippaux mutants


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  • des patients auscultés lors de l'épidémie de grippe au Mexique, en 2009 © 1photo/ Big Stock photos

    Initialement censuré en raison des risques de bioterrorisme, l'article de l'équipe de Yoshihiro Kawaoka sur le virus mutant de la grippe a finalement été publié dans la revue Nature. Celui de l'équipe de Ron Fouchier est en cours de révision et devrait vraisemblablement être mis en ligne prochainement.

    Finalement, la censure est levée. L'Agence américaine de biosécurité a autorisé la publication de deux articles scientifiques sur la création de virus de la grippe très contagieux entre mammifères. Le premier, rédigé par l'équipe américaine de Yoshihiro Kawaoka, de l'université du Wisconsin, a été mis en ligne mercredi 2 mai par la revue Nature. L'autre, écrit par Ron Fouchier, du Centre Erasme à Rotterdam, est en cours de révision par la revueScience. Retour sur ce virus qui a déclenché la polémique.

    Imaginez un virus de la grippe qui serait mortel et se transmettrait aussi facilement qu’une grippe saisonnière. Dans la nature, un tel virus pourrait générer une grave épidémie. Ce virus existe bel et bien : il a été créé en laboratoire par des virologues. Quelques modifications génétiques ont suffi pour rendre transmissible de mammifère à mammifère le virus de la grippe aviaire H5N1. Celui-ci tuerait 6 personnes sur 10, lorsqu’il parvient à les infecter.

    C’est en septembre 2011, à l’occasion d’un congrès, que le virologue Ron Fouchier, du Centre Erasme de Rotterdam, a révélé l’existence de ce virus mutant. Craignant que des terroristes ne s’inspirent de son travail pour mettre au point une arme biologique, l’Agence américaine de biosécurité a demandé à la revue Science d’en retarder la publication. L’Agence s’est également adressée à Nature, afin de censurer une autre étude, signée par le spécialiste de la grippe Yoshihiro Kawaoka, de l’université américaine de Madison-Wisconsin : lui aussi était parvenu à générer un virus H5N1 transmissible entre mammifères.

    Pour tenter d’apaiser l’inquiétude liée à leurs recherches, Ron Fouchier, Yoshihiro Kawaoka et plus de 30 autres spécialistes de la grippe ont cosigné le 20 janvier une tribune, publiée à la fois dans Science et Nature, dans laquelle ils se sont engagés à suspendre leurs manipulations du virus H5N1 durant deux mois. Puis, au mois de février, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a organisé une réunion à Genève, afin de favoriser le dialogue entre les différentes parties. Après deux jours de discussion, les experts présents ont encore repoussé la publication des études. 

    Mais suite à de nouvelles évaluations, l’Agence américaine de biosécurité a autorisé la publication des études, estimant que "les données ne semblent pas fournir d'informations qui permettraient une utilisation nuisible au point de mettre en danger la santé publique ni la sécurité nationale". Les données scientifiques de l'article de Yoshihiro Kawaoka n'ont pas été modifiées, selon la revue Nature qui précise s'être entourée de plusieurs experts internationaux dans le domaine du bioterrorisme.

    Évaluer la menace

    Au-delà de cette question de publication, on peut s’interroger sur l’opportunité même de mener ce type de recherches. Pourquoi prendre le risque de créer des micro-organismes aussi dangereux en laboratoire ? Ron Fouchier et Yoshihiro Kawaoka se défendent d’avoir voulu jouer aux apprentis sorciers : leur objectif était de mieux évaluer la menace liée au virus H5N1.

    Le virus H5N1 est un sous-type hautement pathogène de virus grippal de type A, qui touche principalement les oiseaux. Il tire son nom de deux protéines présentes à sa surface : d’une part une hémagglutinine H5, qui lui permet de fusionner avec la cellule à coloniser, d’autre part une neuraminidase N1, qui aide les virus nouvellement fabriqués dans la cellule à s’en détacher. Parmi les virus de la grippe de type A, il existe 16 formes connues d’hémagglutinine (H1 à 16) et 9 de neuraminidase (N1 à 9). Les virus qui comportent une hémagglutinine de type H7 ou H5 sont considérés comme les plus dangereux.

    Les premiers cas humains connus d’H5N1 sont apparus en 1997 à HongKong, alors que le virus s’était répandu dans des élevages de poulets. Dix-huit personnes ont alors été contaminées, dont six sont mortes. L’épidémie a cependant été rapidement circonscrite, grâce à l’abattage des poulets malades.

    À la fin de l’année 2003, le virus a refait surface simultanément dans plusieurs pays asiatiques, notamment en Indonésie, au Vietnam, en Thaïlande, en Corée du Sud et au Cambodge. Il a alors causé alors la plus grave épidémie de grippe aviaire connue à ce jour : plusieurs dizaines de millions de volailles sont mortes à cause de la maladie, ou par abattage préventif. « Depuis, l’épidémie s’est arrêtée, mais le virus H5N1 continue cependant à circuler chez les oiseaux aquatiques et dans les élevages »,avertit Jean-Claude Manuguerra, responsable de la cellule d’intervention biologique d’urgence de l’Institut Pasteur.

    Mortalité élevée

    Les êtres humains contaminés par le virus H5N1 sont le plus souvent des personnes qui vivent en contact direct avec des oiseaux. Selon l’OMS, 587 personnes ont été infectées par le virus dans le monde depuis 2003, et 346 en sont décédées. La grippe H5N1 aurait donc chez l’homme un taux de mortalité de l’ordre de 60 %, ce qui est considérable : « À titre de comparaison, le taux de mortalité de la grippe espagnole de 1918, qui a fait environ 40 millions de morts, était de 2,5% », précise Bruno Lina, chef de service du laboratoire de virologie du CHU de Lyon.

    Potentiellement mortelle, la grippe H5N1 ne se transmet pas, ou peu, d’homme à homme. D’une part, parce que le virus H5N1 n’est pas adapté à la température corporelle des mammifères, plus basse que celles des oiseaux. « Mais aussi parce ce virus se multiplie au niveau du poumon profond chez l’être humain, ce qui limite sa transmission par les éternuements », explique Bruno Lina.

    Dans son expérience, Ron Fouchier a apporté au virus aviaire H5N1 une série de trois mutations qui devaient lui permettre de se fixer dans les voies aériennes supérieures des mammifères, et de supporter leur température corporelle. Il a ensuite inoculé ce virus modifié à des furets, un modèle animal couramment employé dans ce type d’études, car il a une sensibilité aux virus grippaux similaire à celle des êtres humains [voir ci-dessous] . 

    Les furets infectés par ce virus sont bien tombés malades, confirmant sa virulence. En revanche, un furet malade, placé dans une cage à côté d’un autre furet en bonne santé, ne lui a pas transmis le virus.

    Le biologiste a alors laissé le virus se multiplier dans l’organisme du furet malade, et acquérir ainsi des mutations. Il a ensuite transféré les particules virales récupérées chez ce premier furet à un deuxième animal. Celui-ci est également tombé malade. Mais là non plus, il n’y a pas eu de transmission de la maladie à un autre individu.

    Le biologiste a ensuite contaminé un troisième furet, avec les virus qui s’étaient multipliés chez le deuxième furet malade ; et ainsi de suite, jusqu’au dixième animal infecté. Et là, surprise : le virus était devenu transmissible ! Par ses éternuements, le dixième furet malade a infecté un animal sain placé dans une cage voisine.

    Mutations naturelles

    En analysant la séquence génétique des virus transmissibles, Ron Fouchier a retrouvé les trois mutations qu’il y avait introduites, plus deux autres, apparues naturellement. Cinq mutations avaient donc suffi pour transformer le virus aviaire en un virus adapté aux mammifères. « L’inquiétant, c’est que toutes ces mutations ont déjà été observées à l’état naturel, dans des virus qui avaient contaminé des oiseaux, explique Bruno Lina, cependant, elles sont toujours apparues dans des virus différents, et non de manière combinée. » Le virus mutant créé par Ron Fouchier n’avait en outre rien perdu de sa virulence : un grand nombre des furets qu’il a contaminés sont morts de la grippe.

    Yoshihiro Kawaoka, de son côté, a voulu savoir si le virus de la grippe H1N1, qui s’est répandu à partir du Mexique en 2009, et qui était à l’origine de sévères infections chez l’homme, pouvait échanger des gènes avec le virus H5N1. Ce type d’échange entre deux souches différentes de la grippe, appelé réassortiment génétique, peut en théorie se produire au sein de certains organismes. « Le porc, typiquement, peut être contaminé à la fois par des virus aviaires et humains, ce qui leur permettrait de se recombiner »,explique François Roger, directeur de l’unité de recherche épidémiologie du Cirad.

    Les précédents tests d’échange de matériel génétique entre le virus H5N1 et d’autres souches de virus qui circulaient chez l’homme, comme le H3N2, n’avaient rien donné, les virologues s’interrogeaient sur la possibilité réelle d’une telle recombinaison.

    Yoshihiro Kawaoka a donc mis en contact les virus H5N1 et H1N1 dans des cellules cultivées in vitro, avant de regarder quels types de réassortiment se produisaient entre les virus. Il a ainsi identifié un virus qui possédait toutes les caractéristiques d’un virus H1N1, à part son hémagglutinine, de type H5.

    Le biologiste a ensuite testé ce virus mutant sur des furets : il s’est révélé capable à la fois de les rendre malades, mais aussi de se propager entre individus, par voie aérienne. La virulence de ce virus mutant semblait cependant plus proche de celle du virus H1N1 de 2009 que de celle du virus H5N1, puisque aucun des furets infectés n’est mort de la grippe.

    Les deux virologues ont donc confirmé qu’un virus de la grippe H5N1 capable de contaminer les mammifères pouvait apparaître chez les furets, soit au gré de mutations ponctuelles, soit à la faveur d’un réarrangement entre différentes souches de virus. Pour Bruno Lina, ces travaux sont importants en termes d’évaluation des risques : « Ils montrent que, sous certaines conditions, le virus peut s’adapter à l’être humain, et donc qu’il a le potentiel de devenir pandémique. »

    Cela ne permet pas de dire si les mutations identifiées par les chercheurs apparaîtront dans la nature, ni quelle serait leur dangerosité pour l’homme... Quel est alors l’intérêt de telles expériences ? Pour François Roger, l’approche se défend, « car elle a le mérite de sensibiliser la communauté internationale à la menace d’une pandémie humaine de grippe ». En espérant, toutefois, qu’une expérience scientifique n’en soit pas à l’origine.

    Pascaline Minet

    http://www.larecherche.fr/content/actualite-vie/article?id=31751

    Article initialement publié dans notre numéro 463 (avril 2012), et édité par Fabien Goubet.

    A lire également : 

    Une interview de Jean-Claude Manuguerra : "La controverse était injustifiée"


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    • Alain Genot E-mail the corresponding author
    • Centre de biologie et de pathologie Nord, Fédération de biochimie, Hôpital de la Croix-Rousse (Hospices civils de Lyon), 103, Grande Rue de la Croix-Rousse, 69317 Lyon cedex 04

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    Résumé

    Dans cet article, les paramètres de l’équilibre thyroïdien durant la grossesse normale seront reprécisés : le développement harmonieux de l’enfant sera le résultat des fonctions de la thyroïde maternelle, de la thyroïdefœtale et du placenta. Puis seront abordées les maladies thyroïdiennes en relation avec la fécondité et le désir de grossesse ; la troisième partie traitera des rapports entre grossesse et dysthyroïdies ; on soulignera la difficulté de diagnostic et de prise en charge des dysthyroïdies fœtales ; la période du post-partum avec suivi thyroïdien sera traité dans une quatrième partie et enfin il sera abordé le thème grossesse et cancers thyroïdiens.


    Summary

    In the first part, the parameters of the thyroid balance during normal pregnancy will be revisited: the harmonious development of the child will be the outcome of the adequate functionning of both the maternal and fetal thyroid glands in addition to placental regulation; the second part deals with thyroid disease in relation to fertility and becoming pregnant; the third part will address the relationship between pregnancy and dysthyroidism; the difficulty of diagnosis and management of fetal dysthyroidism will be highlighted; the post partum period with monitoring thyroid is treated in a fourth section and last part will be the topic on pregnancy and thyroid cancers.

    Author Keywords

    • Hyperthyroïdie; 
    • maladie de Basedow; 
    • anticorps; 
    • antithyroïdiens de synthèse; 
    • iode 131; 
    • hypothyroïdie;
    • placenta; 
    • désiodases; 
    • goitre fœtal

    Author Keywords

    • Hyperthyroidism; 
    • Graves disease; 
    • antibodies; 
    • anti-thyroid drugs; 
    • iodine 131; 
    • thyroid; 
    • placenta;
    • deiodinases; 
    • fetal goiter

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