• 5 - IMMUNOLOGIE : EVOLUTION PHYSIOLOGIQUE DE L’INDIVIDU

    courbe sida©

    51 - Une maladie qui touche le système immunitaire – le SIDA

    AIDS

    syndrome d'Immunodéficience acquise

    Le SIDA (syndrome d’immunodéficience acquise) est la phase terminale d’une infection par le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) qui s’attaque aux cellules du système immunitaire, les globules blancs ou leucocyte [blanc, cellule].

    Données AIDS : http://www.unaids.org/en/

    Transmission du SIDA : http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/transida/transmissionsida.htm

    La transmission du SIDA est le produit du contact entre une sécrétion infectée et une muqueuse. Dans l'ordre décroissant, les muqueuses perméables sont la muqueuse rectale, vaginale, et buccale. Evidemment, s'il y a des lésions, la porte d'entrée est encore plus ouverte. Les liquides intracorporels pouvant former une sécrétion infectée sont principalement le sang, sécrétions sexuelles et lait maternel.

    Actualités scientifiques :

    Les trithérapies réduisent la transmission : http://www.larecherche.fr/content/actualite-sante/article?id=27757

    Une protection naturelle contre le sida : http://www.larecherche.fr/content/actualite-sante/article?id=29036

    511 – Les phases de la maladie

    Courbe phases infection : http://www.gsk.fr/gsk/votresante/vih/images/courbe_grd.jpg ; http://www.ulb.ac.be/info/sida/images/infectionprim.JPG

    Cette infection évolue en 3 étapes :

    1 – la primo-infection au cours de laquelle les symptômes sont ceux d’une maladie virale bénigne

    2 – la phase asymptomatique sans signe évocateur de maladie

    3 – la phase symptomatique pendant laquelle apparaissent de nombreuses maladies opportunistes


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  • évaluation TP / Sismolog


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  • (cn+ vg+ // cn+ vg+) x (cn- vg- // cn- vg-) → F1

    test cross : F1 x homozygote récessif → 45% [cn+ vg+ // cn+ vg+] 45% [cn- vg- // cn- vg- ] 5% [cn- vg+ // cn- vg+ ] 5% [cn+ vg- // cn+ vg- ]

    carte génétique drosophile : http://mpronovost.ep.profweb.qc.ca/BIONP1/05_14-Drosophila_map_small.jpg

     

    donc gènes liés : cn et vg sur chs 2

    un test –cross permet de déterminer le nombre de gènes impliqués dans un phénotype.

    S’il y a un seul gène alors la descendance d’un test-cross => deux phénotypes dans des proportions 50 % x 2

    S'il y a 2 gènes non liés donc sur 2 chomosomes non homologues, crossing over impossible, seul brassage interchomosomique => 25% x 4

    S'il y a 2 gènes liés donc sur chomosomes homologues, chiasmas possibles, => env 45% x 2 + 5% x 2

     

    Les études de dihybridisme permettent de préciser les liaisons entre gènes. Lorsque les 4 types de gamètes produits par les hybides F1 sont équiprobables, les gènes sont indépendants. Lorsqu'ils ne sont pas équiprobables (les recombinaisons d'allèles qui n'existaient pas chez les parents sont chacune inférieure à 25%), les gènes sont liés.

     

    => carte factorielle (=génétique) des chromosomes :

    chez la drosophile :

    http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1090

    http://kordonnier.fr/spip.php?article213

    et chez Homo sapiens ?

    Pour presque tous les gènes, il existe plusieurs allèles apparus par mutations. Certains sont rares, mais pour d'autres gènes les allèles sont bien répandus dans la population. En ne considérant que ceux dont la fréquence dépasse 1%, on admet qu'un tiers des gènes, dans l'espèce humaine, est polymorphe.
    On estime par ailleurs que chaque personne possède deux versions alléliques différentes (individu hétérozygote) pour 7% des gènes environ. Ce qui signifie que sur un total de 30 000 gènes (env) du génome humain, chacun est hétérozygote pour 30 000 x 7% = 2 100 gènes.

    conclusion :

    La variabilité allélique se manifeste au sein de l’espèce par une hétérozygotie à de nombreux loci : tout individu est hétérozygote pour un grand nombre de gènes. La variabilité génétique est accrue par la réunion au hasard des gamètes lors de la fécondation et par les brassages intrachromosomique et interchromosomique lors de la méiose.

     

    articles sur couleur pelage souris : http://www.academie-veterinaire-defrance.org/bulletin/pdf/2005Numero4/p499.pdf ; http://www.spectrosciences.com/spip.php?article76

    cours collègue : http://www.lucieberger.org/svt/SVT%20en%20T%20S/WEB_TS/5_StVaGe/5_MF_Bra.html

    simulation des variations de fréquences alléliques : http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/1171031935546/0/fiche___ressourcepedagogique/&RH=1160729734281


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  • Tomographie [tomê, coupe ] sismique = cartographie de l'intérieur de la terre à partir des variations vitesses des ondes sismiques = échographie sismique
    B213/ Subduction du plancher océanique
    Fosse de subduction, foyer sismiques, plan de Benioff, lithosphère, asthénosphère, croûte, manteau, subduction, isotherme 1300°C
    Glossaires et lexiques :http://www.blogg.org/f.php?m=admin&a=contenu ;  http://www.blogg.org/f.php?m=admin&a=contenu ;
    sch'bilan3 ©
    Au voisinage des fosses océaniques, la distribution spatiale des foyers des séismes en fonction de leur profondeur s’établit selon un plan incliné, le plan de Wadatti-Benioff.
    Les différences de vitesse des ondes sismiques qui se propagent le long de ce plan, par rapport à celles qui s’en écartent, permettent de distinguer la lithosphère de l’asthénosphère.
    L’interprétation de ces données sismiques permet ainsi de montrer que la lithosphère s’enfonce dans le manteau au niveau des fosses dites de subduction.
    La limite inférieure de la lithosphère correspond généralement à l’isotherme 1300°C (environ 100 km sous océans, 120 sous continents). La lithosphère comprend la croute + le manteau supérieur, l'asthénosphère est une partie du manteau sous-jacente.
    A4/ animations sur le phénomène de subduction
    http://svt.ac-rouen.fr/tice/rift/rift.htm
    http://svt.ac-rouen.fr/tice/animations/tectonique/expansion.htm
    au fur et à mesure de son éloignement de la dorsale, la lithosphère océanique s'épaissit (refroidissement, sédimentation) et devient plus dense, jusqu'à dépasser la densité de l'asthénosphère. Au bout de 150 à 180 Ma, la densité de la lithosphère dépasse celle de l’asthénosphère, ce qui permet sa subduction. Cette différence de densité est considérée comme le moteur principal de la tectonique des plaques.
    http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → subduction
    logiciel subduction (Perez) : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/subduction/subduction.htm
    Pour-suivre
    http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosgeol/01_decouvrir/02_subduction/00_intro.htm


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  • le croisement, ou hybridation [latin ibrida : « sang mêlé »], de deux souches différant par un allèle d'un gène est appelé monohybridisme. Chez les organismes à phase haploïde dominante, la relation entre génotype et phénotype est simple (un caractère gouverné par un gène, le phénotype correspond à l'unique allèle qui le détermine) l'analyse génétique des produits de la méiose montre que fécondation et méiose répartissent de façon aléatoire les allèles.

    444 - Synthèse : stabilité de l'espèce et variabilité de l'individu

    Analyse génétique avec plusieurs gènes en jeu => relation entre génotype et phénotype

    représenter un génoytpe homozygote, hétérozygote, avec un gène puis avec deux gène situés sur le même chromosome

    représenter un échiquier de croisement avec un gène puis plusieurs gènes

    lorsqu'on réalise un croisement (hybridation) on notre P ou G0 les parents puis F1, F2, … les générations suivantes filles

    une souche "pure" est une souche homozygote

    souche “sauvage” = “wild” = primitive, par opposition à mutant = dérivé

    un hybride (= croisé) est le résultat d'un croisement

    test cross = un croisement entre un F1 et un être récessif

    cas d’un couple d’allèles = monohybridisme, (exp de Mendel sur pois)

    cas de deux couples d’allèles = dihybridisme, (exp de Morgan sur drosophile)

    TP drosophile test cross

    doc drosophile©

    Croisez des Drosophiles  : http://lyrumill.edres74.ac-grenoble.fr/droso/

    1- proposer un croisement avec 1 ou 2 gènes impliqués

    2- calculer les proportions génotypiques possibles par un échiquier des croisement

    3- vérifier sur le site

    4- conclure sur l'éloignement des loci des gènes

     

    Résultats : [sauvage = eb+] x [mutant ebony = eb-]

    => (eb+//eb+) x (eb-//eb-)

    F1= [sauvage = eb+]

    => (eb+//eb-)

    test cross = F1 x homozygote récessif

    F2 à 50% [eb+] 50% [eb-]

    HR \ F1

    eb+

    eb-

    eb-

    (eb- // eb+)

    (eb- // eb-)

    eb-

    (eb- // eb+)

    (eb- // eb-)

    Taux

    50% [eb+]

    50% [eb-]

    50% / 50% => donc un seul gène en jeu

     

    (eb+ vg+ // eb+ vg+) x (eb- vg- // eb- vg-) → F1

    test cross = F1 x homozygote récessif → 25% (eb+ vg+ // eb+ vg+) 25% (eb- vg- // eb- vg- ) 25% (eb- vg+ // eb- vg+) 25% (eb+ vg- // eb+ vg-) donc gènes sur chs séparés : voir carte factorielle : vg sur chs 2, eb sur chs 3

    réaliser le croisement (cn+ vg+) x (cn- vg-) sur http://lyrumill.edres74.ac-grenoble.fr/droso/


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