La plasticité cérébrale affecte autant le cortex moteur que l'importance de cette plasticité, tant dans l'élaboration d'un phénotype spécifique que dans certaines situations médicales.
Le système nerveux central peut récupérer ses fonctions après une lésion limitée. La plasticité des zones motrices explique cette propriété.
La comparaison des cartes motrices de plusieurs individus montre des différences importantes. Loin d'être innées, ces différences s'acquièrent au cours du développement, de l'apprentissage des gestes et de l'entraînement. Cette plasticité cérébrale explique aussi les capacités de récupération du cerveau après la perte de fonction accidentelle d'une petite partie du cortex moteur.
Les capacités de remaniements se réduisent tout au long de la vie, de même que le nombre de cellules nerveuses. C'est donc un capital à préserver et entretenir.
Mots-clés. plasticité cérébrale
Être « nez » : un art qui se cultive : http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-etre-nez-un-art-qui-se-cultive-26696.php
Comment le cerveau apprend : http://www.larecherche.fr/content/actualite-sapiens/article?id=29209