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Par trichard le 18 Janvier 2011 à 18:29
(pré)test mitose et cycle cellulaire©
caryotypes gamètes / adultes / diff espèces©
comment, malgré les mutations, les génômes peuvent-ils avoir une certaine stabilité au cours des générations ?
42/ Méiose et fécondation participent à la stabilité de l’espèce
421/ Dosage de la quantité d'ADN au cours du cycle de reproduction
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1916
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1503
=> haploïde, diploïde, réplication, méiose, fécondation.
La méiose assure le passage de la phase diploïde à la phase haploïde. Elle suit une phase de réplication de l'ADN et se compose de deux divisions cellulaires successives qui conduisent à la présence d’un lot haploïde de chromosomes par cellule fille. Lors de la phase haploïde les cellules contiennent n chromosomes, lors de la phase diploïde les cellules contiennent 2n chromosomes.
422/ les étapes de la Méiose
caryotypes
schéma méiose
=> phases pro-méta-ana-télo, div° I réductionnelle, div° II équationelle
423/ Des perturbations de la méiose
cas de la trisomie 21
http://www.ac-reims.fr/datice/svt/docpedagacad/lycee/sciencvie/genetique/caryotype/caryo/caryo.htm
=> anomalies chromosomiques
Des perturbations dans la répartition des chromosomes lors de la formation des gamètes conduisent à des anomalies du nombre des chromosomes.
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Par trichard le 12 Janvier 2011 à 10:06
TP drosophile
observation de mutants de Drosophile à la loupe binoculaire
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différencier ♀ // ♂ si possible
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identifier différents phenotypes
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compter les différents phenotypes
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noter la légende de chaque plaque
Quelques cycles de reproduction eucaryotes
Cycle de reproduction d'un mammifère : l'humain (p.92-93)
Cycle de reproduction d'un champignon : Sordaria (p.102-103)
le cycle de reproduction de l'humain : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=898
le cycle de reproduction de la drosophile : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=378
le cycle de reproduction de Sordaria : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=899
cycles dev sordaria / humain© à légender
révisions à faire : mitose et cycle cellulaire :
rappel 1°S sur le cycle cellulaire :
http://biotechno.ac-rouen.fr/biologie/CycleCellulairev1.swf
http://svt.premiere.s.free.fr/images/2morpho/quantiteADN.jpg
http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=bio-0010-1
schéma mitose pour comparaison ensuite :
animation mitose :
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Mitose/img-anim/mitose-anim.htm
http://www.sumanasinc.com/webcontent/anisamples/majorsbiology/mitosis.html
http://cell.sio2.be/mitose/10.php
http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=bio-0079-1
schématisation
http://cyberlesson.free.fr/Cybersciences/Cours/images/mitose_general.gif
2 commentaires -
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Par trichard le 12 Janvier 2011 à 08:25
423/ Innovations et phylogénèse
Exemple 1 (manuel p.135) : passage de la nageoire à la patte chez les tétrapodes
matrices-arbres© -> arbre tetrapodes
phylogène : collection tetrapedie
rappel 2ndes : gènes homéotiques, gènes architectes, ou de développement : mettent en place les organes lors du développement embryonaire.
=> mutation homéotique
ontogenèse = développement embryonnaires
Petite cause, grands effets : Une mutation peut affecter des gènes du développement (notamment des gènes homéotiques). De telles mutations (« petite cause ») peuvent induire des décalages (ralentissements ou accélérations) de certaines phases du développement embryonnaires et peuvent avoir des conséquences, par exemple, sur l’apparition d’un nouveau plan d’organisation comme le passage de la nageoire à la patte chez les vertébrés (« grand effet »).
Exemple 2 (p.138) : position du trou occipital entre Homo et Pan
trou occipital à la base du crâne chez chimp et humain foetus puis blocage du trou occipital à la base du crâne chez l’Homme, qui impose une bipédie permanente, alors que la bascule vers l’arrière chez le chimpanzé accompagne la quadrupédie adulte
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=736
image : http://darwin2009.blog.lemonde.fr/files/2009/04/singe1.1239377640.jpg in : http://darwin2009.blog.lemonde.fr/2009/04/10/de-la-neotenie-ou-pourquoi-toutou-est-un-gros-bebe-a-sa-maman/
schéma : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=783
http://www.floridalupine.org/publications/PDF/trut-fox-study.pdf
=> néoténie
l’Homme pourrait être le « descendant néoténique » d’un animal qui aurait conservé à l’âge adulte des traits que l’on trouve aussi chez les homininés actuels (Chimpanzé, Bonobo), mais seulement lorsque ceux-ci sont jeunes. Ces caractéristiques sont modifiées lors du passage à l’état adulte (bipédie, front haut et bombé, yeux volumineux par rapport au reste de la face, membres supérieurs courts par rapport aux membres inférieurs…). Des mutations finalement assez limitées sur le plan de la quantité de matériel génétique concernée, mais ayant des conséquences majeures sur le développement, ont pu être transmises d’un coup à la descendance.
La néoténie décrit, en biologie du développement, la conservation de caractéristiques juvéniles chez les adultes d'une espèce, ou le fait d'atteindre la maturité sexuelle par un organisme encore au stade larvaire. Ces phénomènes sont plutôt observés chez des amphibiens et des insectes, pour lesquels on parle de pédogenèse.
L'exemple le plus connu est l'axolotl ; on a même parfois cru avoir affaire à deux espèces alors qu'il s'agissait de larves se reproduisant sans avoir atteint l'âge adulte.
Il s'agit d'un cas particulier d'hétérochronie. http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9ot%C3%A9nie
Néoténique : adjectif singulier invariant en genre (zoologie) relatif à la néoténie, aptitude pour un animal de se reproduire à l'état larvaire (http://dictionnaire.reverso.net/francais-definition/n%C3%A9ot%C3%A9nique)
Exemple 3 (p.139) : durée du développement embryonnaire du système nerveux central
L'allongement de la durée du développement embryonnaire du système nerveux central chez l’Homme par rapport au Chimpanzé, pouvant être lié à une multiplication des cellules nerveuses conférant à l’Homme un développement plus important du cerveau.
=> hétérochronie
On appelle hétérochronie les modifications de durée et de vitesse d’ontogenèse au cours de l’évolution. Ces phénomènes d’hétérochronie ont probablement joué un grand rôle dans l’évolution humaine. Ils se manifestent par une accélération ou un retard dans le développement embryonnaire ou dans la croissance.
Ces modifications sont la conséquence de la mutation de certains gènes du développement.
On peut par exemple considérer que le développement du crâne humain accuse un certain retard par rapport à celui de l'ancêtre commun à l'humain et au chimpanzé. Il y a donc probablement eu un ralentissement du développement du crâne au cours de l'évolution de l'homme.Ce développement influe aussi sur l'acquisition de certains mouvements au cours de l'ontogenèse et de la phylogenèse. http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9ot%C3%A9nie
http://paideia.paris8.free.fr/spip.php?article7
Synhtèse :
Les innovations génétiques qui affectent aussi bien des gènes de structure que des gènes du développement, peuvent apparaître chez des individus ; seules celles qui affectent les cellules germinales (gamètes) peuvent être transmises à leur descendance. Mais ce sont des populations et des espèces qui évoluent.
Au cours des générations successives, les fréquences des allèles des gènes au sein des populations sont modifiées :
– les individus porteurs d’allèles qui, dans des conditions de milieu données, leur donnent une probabilité plus grande de parvenir à la maturité sexuelle et de contribuer à la reproduction de l’espèce, ont plus de descendance. La fréquence des allèles dont ils sont porteurs augmente dans la population : on parle de sélection naturelle ;
– lorsque la mutation est neutre (aucun avantage ni désavantage particulier n’est conféré aux individus qui les portent), il est possible malgré tout qu’elle se répande dans la population ;
– des mutations concernant les gènes du développement pourraient avoir des conséquences phénotypiques plus importantes que celles qui affectent les gènes de structure. Elles pourraient ainsi rendre compte de l’apparition de nouveaux plans d’organisation et donc d’une évolution des espèces. L’ hétérochronie (ontogenèse modifiée dans sa durée ou sa vitesse d’évolution) peut affecter le développement des caractères de l’espèce.
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Par trichard le 10 Janvier 2011 à 14:14
cartoon Darwin :
http://www.evolution-of-life.com/en/observe/video/fiche/darwin-on-the-evolution-trail.html
24 novembre 1859 : Charles Darwin : « L'Origine des espèces par le moyen de la sélection naturelle, ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie » Titre original : « On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or the Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life »
Charles Darwin utilise l'expresssion « struggle for life » de Thomas Malthus, économiste anglais
http://www.kaingo.com/images/AndyRouse2006/blog_out_lion3.jpg
http://www.genetologisch-onderzoek.nl/wp-content/image_upload/darwincartoon.jpg
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/cd/Origin_of_Species_title_page.jpg
La sélection naturelle ne provoque pas les innovations génétiques. Le matériau de base, le matériau brut sur lequel la sélection naturelle agit est le polymorphisme génétique et donc sur le résultat des innovations génétiques qui sont elles mêmes indépendantes de la sélection naturelle.
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-i-crime-et-chatiment-i-chez-les-figues-24249.php
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-un-escargot-dur-comme-fer-24211.php
422/ Innovations et évolution
familles de globines :
http://www.chups.jussieu.fr/polys/biochimie/SFbioch/POLY.Chp.3.6.html
http://librairiedemolecules.education.fr/outils/pevf/pe1_982/classes/cl1l_fm.htm
http://www.edu.upmc.fr/sdv/masselot_05001/genes_et_genomes/globine.html#bottomofpage
http://www.lyc-bayen.ac-reims.fr/pedagogie/svt/ts/polymorph/hb.htm
doc globines© Coloriez les loci des gènes en fonction de leur expression dans le temps :
http://www.inrp.fr/Acces/biotic/evolut/mecanismes/globines/html/synthese.htm
fréquences allèles ABO ds monde : http://lewebpedagogique.com/svtbegard/files/2009/10/fr%C3%A9quence-des-all%C3%A8les-ABO-population-mondiale.jpg
cartes : http://www.svt.ac-versailles.fr/spip.php?article483
logiciel de Holsinger : http://www.ac-limoges.fr/svt/accueil/html/select-nat-foucher/derive_genetique_bis.html ; http://darwin.eeb.uconn.edu/simulations/drift.html
logiciel évolution allélique : http://www.ac-nice.fr/svt/productions/fiche.php?numero=52
manuel p.132-133 : dérive génétique et horloge moléculaire
Des mutations génétiques peuvent se répandre dans la population sans conférer d’avantage sélectif particulier (mutations dites neutres). Une mutation d’un gène de structure, envisagée dans le cadre de l’évolution des espèces et de la phylogénie, peut ne pas être déterminante, mais accompagner et tracer l’évolution : une mutation neutre se répand de façon aléatoire (dérive génétique) puisqu'elle ne confère pas d'avantage ou de désavantage, cela permet donc de suivre l'évolution de l'espèce, de marquer l'évolution, on parle d'horloge moléculaire.
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Par trichard le 5 Janvier 2011 à 09:24
42/ Étude de trois exemples de relations entre mécanismes de l’évolution et génétique
"Il n'y a pas de théorie de l'évolution. Juste une liste d'espèces que Chuck Norris autorise à survivre" : http://www.chucknorrisfacts.fr/index.php
421/ Mutation et séléction naturelle
TP paludisme et drépanocytose modifié (manuel p.131)
doc palu et drépano : http://genet.univ-tours.fr//gen001700_fichiers/htm/gen12ch8b.htm
infos sur les protozoaires : http://www.biodeug.com/new/index.php?option=com_content&task=view&id=116&Itemid=60
autre cas de polymorphisme : phalène du bouleau, expériences de Kettlewell en Grande-Bretagne (p./131)
doc phalène du bouleau : http://genet.univ-tours.fr//gen001700_fichiers/htm/ch8a/gen12ch8aec1.htm
Les innovations génétiques sont relativement rares et aléatoires et leur nature ne dépend pas des caractéristiques du milieu, bien que certains facteurs puissent augmenter leur fréquence. L'environnement peut favoriser la survie de certains gènes, pas forcément avantageux pour l'individu, par rapport à d'autres à un moment donné de l'histoire de l'espèce.
Les innovations génétiques peuvent être favorables, défavorables ou neutres pour la survie de l’espèce. Parmi les innovations génétiques seules celles qui affectent les cellules germinales d’un individu peuvent avoir un impact évolutif. Une mutation dans une espèce donnée peut avoir des conséquences sur l’individu ou sur la population dans sa totalité. Les mutations qui confèrent un avantage sélectif aux individus qui en sont porteurs ont une probabilité plus grande de se répandre dans la population. On parle alors de sélection naturelle.
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-i-crime-et-chatiment-i-chez-les-figues-24249.php
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-un-escargot-dur-comme-fer-24211.php
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