• 6 – PROCRÉATION : EVOLUTION MORPHOLOGIQUE DE L’INDIVIDU

     

    ©dessins chronologie : http://lcgsn.ifrance.com/enseignement/svt/exoreproduction/clip_image002_0002.jpg ; http://lcgsn.ifrance.com/enseignement/svt/exoreproduction.html ; http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1064

    6 rencontre des gamètes

    1 fusion gamétique

    4 fin méiose ovule

    3 caryogamie

    5 anaphase mitose cell oeuf = début division zygotique

    2 fin 1ère mitose

    dosage hormones : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=677 ; http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=661

    test grossesse immuno : http://www.sumanasinc.com/webcontent/animations/content/pregtest.html

    test grossesse : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1330

    chorion : nom grec du placenta, est l'enveloppe la plus externe de l'œuf. Chez les mammifères, il est en contact avec les tissus maternels. La nature du chorion varie suivant la période de la grossesse.

    Les hormones ovariennes agissent sur le comportement, rendant les femelles plus réceptives et attractives lorsqu’elles sont fécondes, autour de l’ovulation. Les femelles de mammifères autres que les primates présentent un cycle oestrien marqué par l’acceptation du mâle (oestrus) qui favorise la fécondation. C’est le pic plasmatique d’oestrogènes précédant l’ovulation qui est responsable de ce comportement. Chez les femelles primates, on parle de cycle menstruel et les rapports sexuels ne sont plus limités à la période féconde.

    La synchronisation des événements permet la fécondation puis la nidation.

    La viviparité, c’est-à-dire l’apparition de la nidation associée au développement de l’utérus, est une acquisition tardive dans l’évolution et se réalise pleinement chez les mammifères placentaires.

    La disparition temporaire des menstruations (règles) et la sécrétion d’HCG (Human Chorionic Gonadotrophin) par l’embryon, détectable dans le plasma et dans les urines, signalent le début de la grossesse.

    L’étude du comportement reproducteur permet de souligner l’importance des régulations hormonales dans la réussite de la reproduction puisqu’elles interviennent aussi dans le comportement reproducteur.

    Dans l’espèce humaine, la dépendance du comportement sexuel vis-à-vis des hormones sexuelles est moins prégnante, ce qui conduit à une dissociation partielle entre sexualité et reproduction. À cette dissociation s’ajoute l’acquisition par l’homme des moyens de la maîtrise de sa procréation.


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